T'as vu le plan ? 100 plans cultes (ou pas) - François Theurel
Maintenant je le sais, je suis vieux.
Définitivement.
J'ai entièrement lu ce livre découvert à la médiathèque sans même savoir que l'auteur est une star de Youtube. Et puis, il n'y avait pas le bandeau sur la couverture.
J'ai bien aimé son film Camera Obscura, sur la magie du cinéma et l'interpénétration entre film et espace intérieur, lieu de la représentation (ce qui n'est pas sans faire penser à ce texte).
Mais surtout ce livre est celui d'un véritable passionné de cinéma. A partir d'une photo, d'un plan de cinéma, il montre le génie, la puissance de moments de cinéma. La grâce qui étreint ces fugaces plans qui bouleversent et marquent durablement.
Ah, le monologue de Roy Batty, la tête de Willard qui sort de la mare, la statue de la liberté à la fin de La Planète des Singes, la sidération de Térence dans la scène finale de Whiplash, la performance d'Isabelle Adjani dans Possession, l'inquiétante révélation du directeur de la photographie de The Thing...
Et les films que l'on n'a pas vu, on brûle d'envie de les voir.
Même les ratés, les mal-finis, les charcutés, les une-seconde-de-trop, les mal-joués... François Theurel nous montre ce qui aurait pu être, mais qui ne fut pas.
T'as vu le plan est une déclaration d'amour au cinéma, de celles qui naissent dès le plus jeune âge dans une salle obscure.
Pour moi qui vais au cinéma comme on va à la messe, François Theurel est un frère en religion.
Seuls ceux qui savent comprendront.
Définitivement.
J'ai entièrement lu ce livre découvert à la médiathèque sans même savoir que l'auteur est une star de Youtube. Et puis, il n'y avait pas le bandeau sur la couverture.
J'ai bien aimé son film Camera Obscura, sur la magie du cinéma et l'interpénétration entre film et espace intérieur, lieu de la représentation (ce qui n'est pas sans faire penser à ce texte).
Mais surtout ce livre est celui d'un véritable passionné de cinéma. A partir d'une photo, d'un plan de cinéma, il montre le génie, la puissance de moments de cinéma. La grâce qui étreint ces fugaces plans qui bouleversent et marquent durablement.
Ah, le monologue de Roy Batty, la tête de Willard qui sort de la mare, la statue de la liberté à la fin de La Planète des Singes, la sidération de Térence dans la scène finale de Whiplash, la performance d'Isabelle Adjani dans Possession, l'inquiétante révélation du directeur de la photographie de The Thing...
Et les films que l'on n'a pas vu, on brûle d'envie de les voir.
Même les ratés, les mal-finis, les charcutés, les une-seconde-de-trop, les mal-joués... François Theurel nous montre ce qui aurait pu être, mais qui ne fut pas.
T'as vu le plan est une déclaration d'amour au cinéma, de celles qui naissent dès le plus jeune âge dans une salle obscure.
Pour moi qui vais au cinéma comme on va à la messe, François Theurel est un frère en religion.
Seuls ceux qui savent comprendront.
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